· lundi 17 avril, lundi de Pâques ;
· lundi 1er mai, fête du travail ;
· lundi 8 mai, victoire 1945 ;
· jeudi 25 mai, Ascension ;
· lundi 5 juin, lundi de Pentecôte.
Si ces jours ne sont pas travaillés habituellement, le salaire mensuel est maintenu.
Si ces jours sont travaillés, les heures effectuées sont : | ||||
Lundi 17 avril | Dans de nombreuses entreprises de boucherie, le lundi est le jour de repos hebdomadaire. | Compensées par un repos de même durée à fixer dans la quinzaine qui précède ou qui suit (*) | ou | Rémunérées au prix de l’heure normale et ajoutées au salaire mensuel (*) |
Lundi 8 mai | ||||
Lundi 5 juin | ||||
Jeudi 25 mai | Jour normalement travaillé en boucherie. | |||
Lundi 1er mai | En principe, ce jour doit être chômé dans toutes les entreprises. | Rémunérées au prix de l’heure normale et ajoutées au salaire mensuel |
Dans les établissements et services qui, en raison de la nature de leur activité, ne peuvent interrompre le travail, les salariés occupés le 1er mai ont droit, en plus du salaire correspondant au travail accompli, à une indemnité égale au montant de ce salaire, à la charge de l’employeur (article L. 3133-6 du Code du travail).
Aucun texte ne dresse la liste des entreprises visées par le texte, et il appartient au juge du fond d’apprécier souverainement si la nature de l’activité de l’entreprise lui permet ou non d’interrompre son activité le 1er mai (Cass. crim. 8 février 2000, n° 99-82118 ; Cass. crim.14 mars 2006 n°05-83436).
La loi a abandonné toute référence au lundi de Pentecôte. En pratique, il est donc possible de prévoir la journée de solidarité un jour férié autre que le 1er mai, le travail d'un jour ou deux demi-journées, de RTT ou d’effectuer dans l'année, 7 heures supplémentaires non rémunérées.